Mon partenaire boit un peu trop souvent et cela me met mal à l’aise.

Je réponds à la question suivante : Mon copain sort une fois par semaine est boit souvent un peu trop. Il n’est pas désagréable bourré, mais comment lui dire que cela me stress, sans lui donner l’impression de lui interdire ? (Je suis fille d’alcoolique et l’année dernière, il a embrassé sa collègue bourré).

Sachez que j’entends la petite fille et l’adolescente qui a dû subir l’alcoolisme d’un de leurs parents, la confusion que vous avez dû ressentir face à cette situation, l’adaptation que vous avez dû mettre en place devant ce déséquilibre constant et la souffrance que vous avez dû trop souvent intérioriser.

Ma réponse directe à votre question serait :

Donnez de la valeur à vos ressentis, et cela, quel que soit votre passé.

Vous n’avez pas besoin d’avoir vécu des expériences difficiles pour que vos ressentis soient plus valides, qu’ils soient plus entendus ou qu’ils aient plus d’importance.

 

Si cette situation vous met mal à l’aise, communiquez-lui clairement.

Dans la simplicité de vos ressentis et de ce qui se passe à l’intérieur de vous.

Sans peur ni appréhension, rappelez-vous que vous communiquez seulement vos sentiments vis-à-vis d’une situation.

Dire à votre partenaire que cela vous stresse, ce n’est pas lui interdire.

C’est un adulte, normalement, il est assez mature pour prendre en compte vos ressentis sans les prendre comme une interdiction. Vous pouvez également communiquer ce qui vous gêne, sans que ce soit compris comme une interdiction.

 

Si ce n’est pas le cas, vous avez besoin de travailler ensemble pour élever la qualité de vos échanges afin que chacun puisse communiquer ses ressentis sans que cela ne soit un problème.

Sinon vous risquez l’un et l’autre, de cumuler énormément de frustrations dans votre relation, ce qui peut être très lourd pour le bien-être futur de votre relation.

 

Et si malgré vos efforts, il n’est pas assez mature pour vous écouter, il vous montre ses compétences et sa manière d’être, prenez le compte ! Être dans une relation où on ne se sent pas écouté ou pas à l’aise pour parler, c’est choisir de rester dans une relation qui nous amènera insatisfactions sur insatisfactions.

 

Ensuite, il y a deux autres éléments à analyser dans votre question :

 Votre partenaire a embrassé sa collègue l’année dernière, quand il était alcoolisé.

 Un de vos parents est alcoolique et vous l’avez subi durant votre enfance.

 

Que votre partenaire soit alcoolisé ou non, il doit prendre la totale la responsabilité de se baiser.

Car, c’est lui qui est responsable de la situation dans laquelle il s’est mis et de la quantité d’alcool qu’il a choisi de boire. Comme des signaux, des autorisations ou des limites non-claires qu’il a donné à sa collègue.

 

Maintenant, je ne sais pas comment vous avez géré cette situation ensemble. Mais j’ai l’impression que vous avez des difficultés à vous valoriser, à être écouté et à être prise sérieusement en compte dans votre relation.

Et, cela me touche encore plus quand je prends en compte votre passé et les blessures qu’il a dû laisser.

 

Le rôle de votre partenaire n’est pas de réactiver constamment vos blessures passées dans ses comportements, mais plutôt de vous accompagner dans leurs guérisons.

C’est pour cela qu’il est extrêmement important de prendre en compte nos besoins personnels avant de s’engager avec quelqu’un, et de travailler sur nos blessures.

 

Là, vous me dites que vous vivez cela toutes les semaines… Dans une relation où vous ne pouvez pas simplement communiquer vos sentiments sans que cela ne soit pris, potentiellement, comme une interdiction.

 

Vous avez besoin de renouer avec des échanges plus sains dans votre couple.

Apprendre mutuellement à vous parler (choix des mots, tonalité et maîtrise du non-verbal),

à vous écouter (on écoute pour comprendre l’autre et sa réalité, pas pour répondre),

et à transmettre des messages que chacun peut comprendre (en étant personnellement conscient de vos besoins, de vos ressentis, de vos désirs… Et en ayant la capacité d’oser les communiquer avec la bienveillance adéquate).

 

D’après ce que je lis, vous avez besoin d’une relation plus mature, votre relation et votre partenaire ont sûrement besoin d’évoluer et prendre en maturité.

 

De même, vous, vous avez besoin de prendre en maturité et d’apprendre à vous valoriser et à vous affirmer d’urgence.

 

Je sais que c’est difficile surtout quand on a souffert dans notre passé.

Mais ne laissez pas votre passé définir votre présent.

Ne laissez pas ce que vous avez normalisé dans votre passé, se normaliser dans votre présent.

Vous méritez de vivre mieux, et un futur meilleur (et vos souffrances passées peuvent être une source de motivations pour vous pousser à cette vie meilleure encore).

 

Et, je vous garantis que beaucoup mieux est possible.

Encore une fois, c’est votre responsabilité, c’est à vous de vous prendre en main pour améliorer votre futur et vous ne pouvez l’attendre de personne, même pas de votre partenaire.

 

J’espère que cette réponse vous encouragera à vous autoriser à mieux, à agir avec plus de confiance et à plus vous valoriser (beaucoup plus).

 

*Pour la partie, où vous dîtes que l’un de vos parents a été alcoolique et que vous en avez potentiellement souffert, c’est extrêmement important que vous le traitiez avec un professionnel, la blessure émotionnelle à l’air d’être encore très sensible et présente.

De plus, faites attention la consommation régulière ou dans l’excès de votre partenaire, l’alcoolisme est une dépendance silencieuse et discrète dans notre société qui démocratise sa consommation.

 

Eva Ledemé

Je réponds à la question suivante : Mon copain sort une fois par semaine est boit souvent un peu trop. Il n’est pas désagréable bourré, mais comment lui dire que cela me stress, sans lui donner l’impression de lui interdire ? (Je suis fille d’alcoolique et l’année dernière, il a embrassé sa collègue bourré).

Sachez que j’entends la petite fille et l’adolescente qui a dû subir l’alcoolisme d’un de ses parents, la confusion que vous avez du ressentir face à cette situation, l’adaptation que vous avez du mettre en place devant ce déséquilibre constant et la souffrance que vous avez dû trop souvent intérioriser.

 

Ma réponse directe à votre question serait :

Donnez de la valeur à vos ressentis, et cela, quel que soit votre passé.

Vous n’avez pas besoin d’avoir vécu des expériences difficiles pour que vos ressentis soient plus valides, qu’ils soient plus entendus ou qu’ils aient plus d’importance.

 

Si cette situation vous met mal à l’aise, communiquez-lui clairement.

Dans la simplicité de vos ressentis et de ce qui se passe à l’intérieur de vous.

Sans peur ou appréhension, rappelez-vous que vous communiquez seulement vos sentiments vis à vis d’une situation.

Dire à votre partenaire que cela vous stress, ce n’est pas lui interdire.

C’est un adulte, normalement, il est assez mature pour prendre en compte vos ressentis sans le prendre comme une interdiction. Comme vous pouvez communiquer ce qui vous gêne, sans que ce soit compris comme une interdiction.

 

Si ce n’est pas le cas, vous avez besoin de travailler ensemble pour élever la qualité de vos échanges afin que chacun puisse communiquer ses ressentis sans que cela ne soit un problème.

Sinon vous risquez l’un et l’autre, de cumuler énormément de frustrations dans votre relation, ce qui peut être très lourd pour le bien-être futur de votre relation.

 

Et si malgré vos efforts, il n’est pas assez mature pour vous écouter, il vous montre ses compétences et sa manière d’être, prenez le compte ! Être dans une relation où on ne se sent pas écouté ou pas à l’aise pour parler, c’est choisir de rester dans une relation qui nous amènera insatisfactions sur insatisfactions.

 

Ensuite, il y a deux autres éléments à analyser dans votre question :

 Votre partenaire a embrassé sa collègue l’année dernière, quand il était alcoolisé.

 Un de vos parents est alcoolique et vous l’avez subi durant votre enfance.

 

Que votre partenaire soit alcoolisé ou non, il doit prendre la totale la responsabilité de se baiser.

Car, c’est lui qui est responsable de la situation dans laquelle il s’est mis et de la quantité d’alcool qu’il a choisi de boire. Comme des signaux, des autorisations ou des limites non-claires qu’il a donné à sa collègue.

 

Maintenant, je ne sais pas comment vous avez géré cette situation ensemble. Mais j’ai l’impression que vous avez des difficultés à vous valoriser, à être écouté et à être prise sérieusement en compte dans votre relation.

Et, cela me touche encore plus quand je prends en compte votre passé et les blessures qu’il a dû laisser.

 

Le rôle de votre partenaire n’est pas de réactiver constamment vos blessures passées dans ses comportements, mais plutôt de vous accompagner dans leurs guérisons.

C’est pour cela qu’il est extrêmement important de prendre en compte nos besoins personnels avant de s’engager avec quelqu’un, et de travailler sur nos blessures.

 

Là, vous me dites que vous vivez cela toutes les semaines… Dans une relation où vous ne pouvez pas simplement communiquer vos sentiments sans que cela ne soit pris, potentiellement, comme une interdiction.

 

Vous avez besoin de renouer avec des échanges plus sains dans votre couple.

Apprendre mutuellement à vous parler (choix des mots, tonalité et maîtrise du non-verbal),

à vous écouter (on écoute pour comprendre l’autre et sa réalité, pas pour répondre),

et à transmettre des messages que chacun peut comprendre (en étant personnellement conscient de vos besoins, de vos ressentis, de vos désirs… Et en ayant la capacité d’oser les communiquer avec la bienveillance adéquate).

 

D’après ce que je lis, vous avez besoin d’une relation plus mature, votre relation et votre partenaire ont sûrement besoin d’évoluer et prendre en maturité.

 

De même, vous, vous avez besoin de prendre en maturité et d’apprendre à vous valoriser et à vous affirmer d’urgence.

 

Je sais que c’est difficile surtout quand on a souffert dans notre passé.

Mais ne laissez pas votre passé définir votre présent.

Ne laissez pas ce que vous avez normalisé dans votre passé, se normaliser dans votre présent.

Vous méritez de vivre mieux, et un futur meilleur (et vos souffrances passées peuvent être une source de motivations pour vous pousser à cette vie meilleure encore).

 

Et, je vous garantis que beaucoup mieux est possible.

Encore une fois, c’est votre responsabilité, c’est à vous de vous prendre en main pour améliorer votre futur et vous ne pouvez l’attendre de personne, même pas de votre partenaire.

 

J’espère que cette réponse vous encouragera à vous autoriser à mieux, à agir avec plus de confiance et à plus vous valoriser (beaucoup plus).

 

*Pour la partie, où vous dîtes que l’un de vos parents a été alcoolique et que vous en avez potentiellement souffert, c’est extrêmement important que vous le traitiez avec un professionnel, la blessure émotionnelle à l’air d’être encore très sensible et présente.

De plus, faites attention la consommation régulière ou dans l’excès de votre partenaire, l’alcoolisme est une dépendance silencieuse et discrète dans notre société qui démocratise sa consommation.

 

Eva Ledemé

Je réponds à la question suivante : Mon copain sort une fois par semaine est boit souvent un peu trop. Il n’est pas désagréable bourré, mais comment lui dire que cela me stress, sans lui donner l’impression de lui interdire ? (Je suis fille d’alcoolique et l’année dernière, il a embrassé sa collègue bourré).

Sachez que j’entends la petite fille et l’adolescente qui a dû subir l’alcoolisme d’un de ses parents, la confusion que vous avez du ressentir face à cette situation, l’adaptation que vous avez du mettre en place devant ce déséquilibre constant et la souffrance que vous avez dû trop souvent intérioriser.

 

Ma réponse directe à votre question serait :

Donnez de la valeur à vos ressentis, et cela, quel que soit votre passé.

Vous n’avez pas besoin d’avoir vécu des expériences difficiles pour que vos ressentis soient plus valides, qu’ils soient plus entendus ou qu’ils aient plus d’importance.

 

Si cette situation vous met mal à l’aise, communiquez-lui clairement.

Dans la simplicité de vos ressentis et de ce qui se passe à l’intérieur de vous.

Sans peur ou appréhension, rappelez-vous que vous communiquez seulement vos sentiments vis à vis d’une situation.

Dire à votre partenaire que cela vous stress, ce n’est pas lui interdire.

C’est un adulte, normalement, il est assez mature pour prendre en compte vos ressentis sans le prendre comme une interdiction. Comme vous pouvez communiquer ce qui vous gêne, sans que ce soit compris comme une interdiction.

 

Si ce n’est pas le cas, vous avez besoin de travailler ensemble pour élever la qualité de vos échanges afin que chacun puisse communiquer ses ressentis sans que cela ne soit un problème.

Sinon vous risquez l’un et l’autre, de cumuler énormément de frustrations dans votre relation, ce qui peut être très lourd pour le bien-être futur de votre relation.

 

Et si malgré vos efforts, il n’est pas assez mature pour vous écouter, il vous montre ses compétences et sa manière d’être, prenez le compte ! Être dans une relation où on ne se sent pas écouté ou pas à l’aise pour parler, c’est choisir de rester dans une relation qui nous amènera insatisfactions sur insatisfactions.

 

Ensuite, il y a deux autres éléments à analyser dans votre question :

 Votre partenaire a embrassé sa collègue l’année dernière, quand il était alcoolisé.

 Un de vos parents est alcoolique et vous l’avez subi durant votre enfance.

 

Que votre partenaire soit alcoolisé ou non, il doit prendre la totale la responsabilité de se baiser.

Car, c’est lui qui est responsable de la situation dans laquelle il s’est mis et de la quantité d’alcool qu’il a choisi de boire. Comme des signaux, des autorisations ou des limites non-claires qu’il a donné à sa collègue.

 

Maintenant, je ne sais pas comment vous avez géré cette situation ensemble. Mais j’ai l’impression que vous avez des difficultés à vous valoriser, à être écouté et à être prise sérieusement en compte dans votre relation.

Et, cela me touche encore plus quand je prends en compte votre passé et les blessures qu’il a dû laisser.

 

Le rôle de votre partenaire n’est pas de réactiver constamment vos blessures passées dans ses comportements, mais plutôt de vous accompagner dans leurs guérisons.

C’est pour cela qu’il est extrêmement important de prendre en compte nos besoins personnels avant de s’engager avec quelqu’un, et de travailler sur nos blessures.

 

Là, vous me dites que vous vivez cela toutes les semaines… Dans une relation où vous ne pouvez pas simplement communiquer vos sentiments sans que cela ne soit pris, potentiellement, comme une interdiction.

 

Vous avez besoin de renouer avec des échanges plus sains dans votre couple.

Apprendre mutuellement à vous parler (choix des mots, tonalité et maîtrise du non-verbal),

à vous écouter (on écoute pour comprendre l’autre et sa réalité, pas pour répondre),

et à transmettre des messages que chacun peut comprendre (en étant personnellement conscient de vos besoins, de vos ressentis, de vos désirs… Et en ayant la capacité d’oser les communiquer avec la bienveillance adéquate).

 

D’après ce que je lis, vous avez besoin d’une relation plus mature, votre relation et votre partenaire ont sûrement besoin d’évoluer et prendre en maturité.

 

De même, vous, vous avez besoin de prendre en maturité et d’apprendre à vous valoriser et à vous affirmer d’urgence.

 

Je sais que c’est difficile surtout quand on a souffert dans notre passé.

Mais ne laissez pas votre passé définir votre présent.

Ne laissez pas ce que vous avez normalisé dans votre passé, se normaliser dans votre présent.

Vous méritez de vivre mieux, et un futur meilleur (et vos souffrances passées peuvent être une source de motivations pour vous pousser à cette vie meilleure encore).

 

Et, je vous garantis que beaucoup mieux est possible.

Encore une fois, c’est votre responsabilité, c’est à vous de vous prendre en main pour améliorer votre futur et vous ne pouvez l’attendre de personne, même pas de votre partenaire.

 

J’espère que cette réponse vous encouragera à vous autoriser à mieux, à agir avec plus de confiance et à plus vous valoriser (beaucoup plus).

 

*Pour la partie, où vous dîtes que l’un de vos parents a été alcoolique et que vous en avez potentiellement souffert, c’est extrêmement important que vous le traitiez avec un professionnel, la blessure émotionnelle à l’air d’être encore très sensible et présente.

De plus, faites attention la consommation régulière ou dans l’excès de votre partenaire, l’alcoolisme est une dépendance silencieuse et discrète dans notre société qui démocratise sa consommation.

 

Eva Ledemé

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